Amazone académie

René Lacourse

TOUTES ENSEMBLES

FORTES ENSEMBLES (Une série de trois articles pour vous partager en tant que femme issue de l’immigration mon humble point de vue sur la mobilisation des femmes en ces 12 jours d’actions pour éliminer les violences faites aux femmes -Art1.) Ce mardi 02 décembre à 18h heures de l’est, j’ai assisté à un webinar via l’application zoom organisé par Amnistie internationale Canada sur le thème : Mobilisation des femmes autochtones contre la violence et le racisme systémique. Un dialogue avec les représentantes des femmes concernées et une invitation à la mobilisation…une mobilisation commune. Comme dit une célèbre citation : « La vraie histoire ne se laisse pas raconter. », il nous a donc été offert d’écouter s’exprimer un panel à 100% voix de femmes Autochtones pour nous ouvrir la voix à une réflexion certes mais une mobilisation, à une action commune. Les panelistes étaient en effet des femmes de la communauté autochtones dans son ensemble : Viviane Michel, présidente des Femmes Autochtones du Québec, Jennifer Brazeau directrice générale du centre d’amitié autochtone de Lanaudière, Natacha Kanapé Fontaine Poète, autrice, actrice et artiste visuelle multidisciplinaire et Widia Larivière cofondatrice et directrice de Mikina. Des femmes éloquentes, authentiques avec une résilience déconcertante, chacune à sa façon et selon son champ d’expertise nous a partagé sa vision d’une société non violente pour les femmes autochtones et au-delà des femmes pour leur communauté et pour le pays. À travers des mots, des images, des anecdotes, je suis sortie de ce webinar mieux informée et surtout interpellée plus que je ne l’étais déjà à cette mobilisation commune. Tu ne peux pas me parler de droits et libertés des femmes et me surprendre être témoin passive d’un système qui depuis des centaines d’années s’est bâtit et continue de se bâtir sur une violation si parfois effroyable des droits de femmes en 2020. Trois mots ou expression m’ont vivement interpellé lors de ce webinar: 1- « Force ensemble » 2- « Intersectionalité » 3- « Un débat sémantique » Isolés de leur contexte ils ne veulent assurément rien dire, tout comme lorsque certains gouvernants au Québec nient l’existence du racisme systémique et le font depuis le confort de leurs souliers sans emprunter deux minutes les sandales de ces femmes autochtones. Des femmes qui refusent d’être des victimes mais veulent simplement revêtir la seule tunique favorable à leur plein épanouissement, à leur pleine expression, à leur identité de femmes, mères, filles de nation autochtone. Cette tunique s’appelle le respect actif et honnête de leurs droits et libertés… 1- Une force ensemble Voilà un combat pour sortir du colonialisme qui dure depuis des centaines d’années et malgré les avancées non-négligeables, les portes-paroles et activistes femmes autochtones s’épuisent non sans se décourager se font mettre dans un dossier secondaire par nos dirigeants. Oui il y’a les politiques certes mais et nous femmes de l’immigration, femmes du Québec, bref et nous citoyens et citoyennes témoins de leur mobilisation. Que faisons-nous…assistons-nous passifs et silencieux. Comme dit l’adage : « Ce ne sont pas les bourreaux qui me font peur, ceux sont tous ceux et celles qui assistent silencieux. » Et des silencieux et passifs, que nous sommes majoritaires! Une force ensemble est un appel à rejoindre la mobilisation de ses femmes chacun à son niveau car comme dit un proverbe de mes ancêtres africains le dit : « Si aujourd’hui ils se sont en pris à elle demain ça sera toi, ainsi va la vie. » 2-​ Intersectionalité Une approche de solutions et d’actions favorables très certainement; faire converger les forces vers un but commun, briser les frontières entres les différentes forces agissantes du système pour avoir des résultats plus durables. Comment faire converger nos forces vers des solutions durables et efficaces…Ce webinar m’a ouvert à une réflexion que je vais continuer avec mon groupe de femmes plus issues de l’immigration oui mais surtout à une prise de position; celle de l’action. Parler c’est bon ça permet de se faire entendre, écrire c’est aussi bon, ça permet de s’exprimer et graver sa pensée avec des mots mais agir c’est encore mieux et plus efficace. 3-​ Un débat sémantique Et voilà en effet le nerf de la guerre, un simple mot voudrait obstruer ou effacer des maux qui défigurent, détruisent et tuent des vies. Pouvons-nous laisser deux minutes la sémantique des mots et poser un regard humain sur les maux. Au Québec, le gouvernement en place refuse de reconnaitre le « racisme systémique »et il en découle un débat de syntaxe. Peut-être qu’une approche basée sur des critères permettant d’identifier le racisme systémique ferait avancer la discussion. Des outils ou une approche parallèle permettraient d’offrir aux allochtones (souvent privilégiés) de mieux comprendre ce qui se vit du point de vue de ceux et celles qui en sont affectés. Toute femme a droit à des soins de santé adéquat et dans le respect sans préjugés discriminants…Toute personne a droit à être secourue par la sécurité publique sans que l’on doute de son innocence au nom d’un préjugé racial…Tout enfant a droit à être traité comme un humain et non un vulgaire numéro de dossier au nom de ses origines ou de sa classe sociale… La définition du racisme systémique selon une parente de Joyce Echaquan, Alice Echaquan et je cite : « Le racisme systémique c’est de me faire rabaisser…que me couleur de peau est dite sale, que l’on me regarde comme une femme avec un quotient intellectuel bas puisqu’il me traite de sauvage, avec un manque de savoir vivre parce que je ne parle pas bien le Français…pourtant je m’exprime bien et je parle même Atikamekw, l’anglais et l’espagnol! » Malheureusement, on ne saura jamais la définition de celle de Joyce tuée par le racisme systémique mais on peut sans l’ombre d’un doute, affirmer qu’il tue! Le racisme systémique tue, oui nous en avons la preuve et n’ayons pas peur des mots même lorsqu’ils dérangent, si tel est la cas en effet, voilà un bon début de solution durable et efficace. Les

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30 ÉMISSIONS PLUS TARD

30 ÉMISSIONS PLUS TARD ( L’Amazone une émission qui fait connaître les histoires d’intégration de la diversité d’immigrants en Mauricie)« La vraie histoire ne se laisse pas raconter. » dit une célèbre citation. Avec la radio communautaire 92,9 CFUT à Shawinigan, nous avons décidé de permettre aux personnes issues de l’immigration de raconter leur cheminement d’intégration ou si vous préférez d’inclusion lors d’une émission de radio dénommée : L’Amazone autour de la Mauricie, histoires d’intégration. PRÉSENTER CETTE DIVERSITÉ Au-delà de se raconter, le but premier de l’émission est de présenter à la communauté d’accueil ses immigrants; présenter d’une part ces fils et ces filles de la Mauricie bien que venus d’ailleurs et d’autres part créer des ponts où se bâtit ensemble la région avec toutes les forces présentes. En effet, en 30 émissions, nous avons vu défiler au micro des personnes des pays comme la Belgique, le Maroc, La Côte d’Ivoire, Haïti, La Tunisie, Le Sénégal, la France, Le Congo…pour ne citer que ceux-là. Nos invités hommes et femmes sont présentés avec tout ce qu’ils choisissent de raconter en onde au micro des animateurs Elvire (votre bloggeuse) elle-même issue de l’immigration et Dénis le directeur général de la radio originaire du Québec. UNE PLUS VALUE RÉELLE Le slogan de l’émission est : Pour une Mauricie riche de sa diversité! Et ce ne serait pas faire le déballage des curriculum vitae de nos invités que d’affirmer que la richesse académique et professionnelle est non-négligeable. Nous avons reçu Docteur Sylvain, brillant médecin exerçant à Shawinigan nous raconter son histoire d’intégration et toutes ces implications autant sociales au-delà de la région. Anthony Ozorai originaire de Belgique homme de lettres et de communication impliqué dans le salon du livre de Trois-Rivières, le GRIS Mauricie et bien d’autres engagements, Edith Kaltenrieder de Suisse dynamique femme impliquée au niveau communautaire à Shawinigan avec l’acorderie, Docteure Aglaé Lemarchand psychologue originaire de France résidente à St Étienne des Grès et exerçant autant à Trois-Rivières qu’à Shawinigan, Yvon Nawej directeur de l’organisme FIA :familles d’ici et d’ailleurs à Trois-Rivières qui nous vient de la république démocratique du Congo, Jules Tiemoko de Côte d’Ivoire expert en informatique et initiateur d’une application dénommée « Go Chapp » qui facilite la gestion des réservations de taxis dans la région et au-delà, une réelle innovation et évolution technologique au niveau de la sécurité dans le milieu du transport …bref pour ne citer que ceux-là. L’immigration vers la région connait un réelle engouement car l’intégration socioprofessionnelle et l’inclusion dans le réseau local se fait plus efficacement grâce à des entreprises de plus en plus ouvertes sur cette réelle plus value de la diversité. Des entreprises comme CGI une importante entreprise en service-conseils en technologie de l’information (TI) et en management à Shawinigan, le CIUSS (le centre intégré universitaire des services sociaux) à Trois-Rivières peuvent vous en dire du nombre d’immigrants qui y travaillent. Ils/elles viennent d’ailleurs oui, et sont maintenant d’ici pour donner à la Mauricie une plus grande force de frappe à tous les niveaux: culturels, politiques, professionnels, éducatifs bref au niveau humain tout simplement. 30 émissions plus tard et nous n’avons même pas encore atteint le dixième de cette plus value, de cette grande et combien fructueuse mosaïque de personnes dites immigrées source d’une Mauricie si riche de sa diversité! POURQUOI LA RADIO ET LE CHOIX DU 92,9 CFUT Le choix de la radio pour une telle émission parce que le caractère intimiste sans spot lumineux ou camera intimidante comme ça aurait été le cas en télévision, l’environnement accueillant et communautaire du 92,9 cfut, et la volonté de son directeur général d’accueillir ce projet ont pesé dans la balance. Nos invités se sentent bien et dans une atmosphère adéquate pour se raconter. NOS PARTENAIRES ET ALLIÉS Au cours de l’Émission, l’invité devient un ambassadeur de son pays d’origine qu’il nous fait découvrir à travers une entrevue bien ciblée de notre duo d’animateurs. Ensuite notre ambassadeur et guide nous présente son coin de pays en Mauricie, les attraits touristiques découverts dans la région, son réseau, d’éventuels repas québécois, il nous partage même des expressions québécoises.(…) Un temps d’émission plaisant, dynamique et convivial. Le noble constat que nous faisons à chaque fin d’émission, c’est que l’invité ne regrette pas son choix de la région et se donne une note satisfaisante à son parcours. Un parcours de combattant mais au final qui aura valu la peine. Nous remercions tous nos invités déjà passés en onde au studio. Les organismes comme le RAAM : regroupement des amazones d’Afrique et du monde, le SANA : Le Service d’Accueil des Nouveaux Arrivants de Shawinigan, L’Organisme Famille d’ici et d’ailleurs, la table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie, La radio communautaire CFUT avec son directeur général Denis Benoit. Merci à tous ces partenaires et alliés dans ce processus d’inclusion efficace et réussi de nos immigrants. Elle est belle la Mauricie: Trois-Rivières, Shawinigan, St Étienne des grès, St Maurice, et environs. Elle les accueille et les reçois partout dans la région (…) Le processus d’intégration dynamique soit-il requiert plus de patience, de persévérance et d’endurance dans certains cas mais il n’est pas impossible… il peut même être d’un grand succès comme dans plusieurs cas. Les voyages radiophoniques autour de la Mauricie et autour du monde continuent! À vos passeports! À vos cœurs ouverts à la beauté et à la richesse de la diversité! Découvrons ensemble ces histoires de vie, ces généreux partages si humains! L’Amazone autour de la Mauricie, histoires d’intégration Pour une Mauricie riche de sa diversité! Elvire B Toffa, entrepreneure. Elvire Originaire d’Abidjan en Côte d’Ivoire, Elvire a débarqué au Québec en 2007 par les voies du parrainage (regroupement familial). Cette immigrante d’Afrique de l’ouest s’est mariée à un Québécois de souche et vit dans la région de la Mauricie, dans la ville de Trois-Rivières avec ces trois enfants. Femme d’action, elle nous parle de parrainage, de l’Afrique au Québec et aussi d’entrepreneuriat. Merci à l’équipe d’immigrer.com Voir tous les articles du blog

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Le Festival ‘’Tresses et coiffures du Monde’’

Le Festival « Tresses et coiffures du Monde’’ Un festival encore en montage qui se tiendra l’été en plein air dans un parc que l’académie choisira avec minutie dans le but d’offrir à sa clientèle la possibilité de découvrir et essayer toutes les tresses et coiffures du monde afro exotique. Une façon de faire connaître ce style de coiffure et le vulgariser à la communauté. Des stands, des défilés, des salons éphémères… La fête des tresses et du cheveu afro-crépus et métissé dans toute sa splendeur. ‘’Les cheveux crépus c’est une affaires diplômatique’’ Voir tous les articles du blog

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Visage de femmes noires

Visage de femmes noires Voyager dit-on, c’est partir ailleurs, découvrir une nouvelle terre, de nouvelles personnes, une nouvelle culture. Le voyage dont il est question maintenant va nous transporter dans l’univers magique de la FEMME, la Femme Noire. La « femme noire » qui fut le titre d’un célèbre poème de Leopold Sedar Senghor sur la Négritude. Une ode à l’Amour, à la femme, à la terre noire. Ce voyage de découverte culturelle va nous porter dans les bras de la femme Noire depuis la période précoloniale puis l’Esclavage et la colonisation. Ensuite, nous remonterons aux indépendances, la quête de Liberté en arborant la Femme Noire libre et désireuse se faire une place dans la société humaine quelle qu’elle soit. Et enfin nous prendrons l’élan d’un regard optimiste et innovant de la Femme noire sur l’avenir. Un avenir en lequel elle croit et qu’elle veut prometteur, lumineux et étincelant! Bon voyage à toutes et à tous!!!!!! Visage de femmes Noires est un défilé spectacle regroupant de la danse, du chant, de l’art du cheveux crépus et afro-métissé, les costumes, bref de la création avec le partenaire CASAFRIQ et autres partenaires de l’amazone académie. Ce spectacle a lieu au mois de Février pour clôturer le mois de l’histoire des Noirs. Voir tous les articles du blog

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JIFA

jifa UN PEU D’HISTOIRE SUR LA JIFA On en parle peu, mais son intuition première remonte pourtant à il y a un peu plus de cinquante ans… Le 31 juillet a été consacré « Journée de la femme africaine » à l’occasion du premier congrès de l’Organisation Panafricaine des Femmes (PAWO en anglais) qui s’était tenu à Dakar, au Sénégal, le 31 juillet 1974. La date historique de 1962 souvent retenue pour cette journée est le 31 juillet 1962. Ce jour là, à Dar es Salaam (Tanzanie), des femmes de tout le continent africain s’étaient réunies pour la première fois et avaient créé la première organisation de femmes, la « Conférence des Femmes Africaines » (CFA). Un rôle de pionnièresLe rôle historique joué par les femmes en Afrique témoigne de leur capacité de réaliser et conduire les changements sur le continent.  Souvenons-nous que les peuples africains se libéraient alors peu à peu de la tutelle des pays colonisateurs. La libération totale du continent africain, l’élimination de l’apartheid et l’instauration d’une justice commune qui défende les droits de l’Homme en tant qu’être humain, devenaient alors les objectifs prioritaires du mouvement. Du chemin a été parcouru, du chemin reste à parcourir !Ici à Trois-Rivières dans la région de la Mauricie au Québec des femmes immigrées d’origine africaines ont jugé bon d’entreprendre ce reste de chemin et y aller en RAAMant toutes ensembles un peu plus haut un peu plus loin. Car les droits humains, l’émancipation de la femme, le rayonnement de la femme, la non violence aux femmes, l’intégration socio-professionnelle de ces femmes gage de liberté, de dignité et d’épanouissement de leur féminitude dans toutes les sphères de leur vie.Et Ça commence aujourd’hui! DEPUIS 2015 La journée internationale de la Femme Africaine, JIFA pour sa cinquième édition a lieu chaque dernier samedi du mois d’octobre en mémoire du 24 octobre date de création du Raam à Trois-Rivières sous un thème choisi à l’avance pour continuer cette dynamique d’intégration des femmes immigrées dans notre région. ‘’Émancipation’’, ‘’Action’’, ‘’ Rayonnement’’, ‘’Ose’’ sont autant de thématique sous lesquelles le gala de la JIFA en Mauricie ont eu lieu depuis 2015 date de la première édition. Cliquez sur le lien de la ‘’Journée internationale de la Femme Africaine en Mauricie’’ pour suivre toutes les éditions en images et témoignages via la page Facebook de l’événement JIFA. Depuis la quatrième édition, une nouveauté: Le salon des entrepreneurs afro-québécoises, modèles de leadership et d’audace entrepreneuriale qui a lieu le matin de l’événement et le soir le grand Gala avec le concours d’intégration et de leadership, l’Ambassadrice Afrique-Québec. Voir tous les articles du blog

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LA MAURICIE ET LES « TROIS SOEURS »

LA MAURICIE ET LES « TROIS SOEURS » En Mauricie, les femmes travaillent main dans la main. La solidarité entre les femmes est remarquable. Dans la foulé de la marche mondiale des femmes qui s’est tenue octobre 2015 où plus de 15000 femmes du Québec se sont rassemblées à Trois-Rivières, la table de concertation du mouvement des femmes a continué sa fort belle mission d’être la voix des femmes au Québec. Trois-Rivières capitale de la Mauricie avait été choisie pour ce rassemblement parce que « c’est un lieu de confluent de cours d’eau, mais aussi d’énergies et de vitalité. Le mouvement des femmes ici dans la région est d’une très grande force et a toutes les qualités pour accueillir autant de personnes de partout au Québec. Et la ville comme telle est magnifique», avait indiqué Alexa Conradi, porte-parole nationale de la Coordination du Québec de la Marche mondiale des femmes. C’est donc dans cet esprit de force commune que les femmes de la Mauricie autour de la table de concertation, mènent des actions concrètes pour garder le fort et surtout faire rayonner les femmes dans la région. L’esprit des « TROIS SOEURS » cette belle image on aurait dit de la « trinité bienheureuse » pour ceux qui en savent un peu des écritures saintes démontre dans les faits cette volonté plus qu’active des femmes de faire UNE et travailler ensemble. Unité, complémentarité et action commune sont autant de valeurs que laisse transparaitre l’action des femmes en Mauricie. Les « Trois soeurs » pour ceux qui l’ignorent encore sont les femmes autochtones, les allochtones et les femmes issues de l’immigration dans toute leur diversité. Cette mosaïque de femmes dans un esprit féministe, n’ayons pas peur de le souligner puisque la cause des femmes, leurs droits et devoirs sont le combat permanent de ces « veilleuses ». Oui elles veillent à conserver sinon à acquérir davantage de réalisations et de droits pour les femmes dans toutes les sphères décisionnelles de la vie politique, sociale, professionnelles dans la région et au Québec. Ce rayonnement est souligné depuis quelques années par « Mauriciennes d’influence » une plate-forme qui crée un réseau de femmes qui se distingue par leur volonté à s’impliquer activement dans les lieux de pouvoir de leur communauté. Avec pour mission d’accroitre la représentation féminine là oû les décisions se prennent. Les femmes et Mauriciennes d’influence ont la conviction que les instances dirigeantes ne peuvent que bénéficier de l’apport des femmes de leur territoire. Leurs connaissances et leurs compétences, ainsi que leur vision du développement, font des Québécoises des femmes depuis toujours engagées dans le développement de leur communauté. Dans la conduite des affaires publiques, elles portent souvent à l’agenda des préoccupations relatives à un authentique progrès humain, intégrant la dimension sociale, culturelle ou environnementale à l’aspect économique de ces questions. Pour l’édition 2017, les « Trois Soeurs » se retrouvent encore autour de ce noble projet avec le thème: « Femme du Monde, Femme d’ici » une façon de démontrer encore une fois cette mosaïque d’action commune, de rayonnement commun et de solidarité. Le regroupement des Amazones d’Afrique et du Monde qui est l’organisme dédié et actif par et pour les femmes issues de l’immigration en Mauricie, est partenaire avec la Table de concertation pour cette édition. Les femmes immigrées pourront donc présenter des candidatures de plusieurs parmi elles qui s’impliquent dans la communauté. Les lieux et catégories d’implications étant les Milieux scolaire (conseil d’établissement, commission scolaire, conseil étudiant), de travail (conseil d’administration, comité), des affaires, de la politique, de la santé et services sociaux (CSSS, CHSLD, hôpitaux), etc. On ne le dira jamais assez, ce sont nos différences qui nous rendent fortes; mises ensemble, tout cela devient une force dynamique de réussite, d’expression, de liberté et d’intégration pour toutes les femmes sans distinction et ça les femmes l’ont compris à Trois-Rivières. Les « Trois-Soeurs » l’assimilent et le vivent en Mauricie. Les Mauriciennes Les Amazones d’Afrique et du monde Voir tous les articles du blog

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FEMMEs, 7 RAISONS QUI DEVRAIENT TE CONVAINCRE QUE L’IDÉAL EST TROIS-RIVIÈRES

FEMMES, 7 RAISONS QUI DEVRAIENT TE CONVAINCRE QUE L’IDÉAL EST TROIS-RIVIÈRES Femme, 7 raisons qui devraient te convaincre que Trois-Rivières est la ville adéquate pour immigrer en région avec ta famille. Quand on parle d’immigration, il ne faut pas perdre de vue le caractère de renaissance, de renouveau et d’adaptation de ce processus. L’humain est en perpétuelle adaptation dans son milieu de vie au quotidien face à tous les changements que peuvent imposer la vie. Que dire de la femme immigrée ? Femmes, Pourquoi devrais-tu choisir Trois-Rivières comme terre d’accueil ? L’accueil aux femmes ; Trois-Rivières a une structure d’accueil aux nouvelles arrivantes avec le Service d’accueil aux nouveaux arrivants, le Sana et sa cellule féminine (harmonisation femme). L’école de Francisation un incontournable lorsque la langue est une barrière et l’accompagnement à l’employabilité avec Stratégie Carrière. Le regroupement des Amazones d’Afrique et du Monde, le Raam qui dans la continuité de l’intégration socio-professionnelle des femmes issues de l’immigration et nouvelles arrivantes offre aux femmes un lieu d’échange, de partage et d’élaboration de projets innovants dans le but de travailler au processus d’intégration avec les femmes, par les femmes et pour les femmes immigrées. Dans son action, le Raam lui-même s’intègre à la vie des autres organismes et regroupements féminins et mixtes de la région. Une bonne façon de rejoindre toutes les autres femmes et éviter de se ghettoïser. A Trois-Rivières, On ne court pas ; avec ou sans enfants, la femme a besoin d’un lieu propice à la quiétude et la sécurité. Même la plus hyperactive souhaitera prendre tranquillement et sûrement de bons repères avant de partir à la quête de son bien-être et celui de sa famille. Les distances entre les lieux de services de bases : hôpitaux, services gouvernementaux et sociaux… ne sont pas énormes et se font facilement en transport en commun avec des lignes d’autobus avec des horaires réguliers et des arrêts à l’abris des intempéries climatiques. Le coût de la vie, des logements, de l’épicerie sont abordables malgré la hausse des produits d’épiceries en général, plusieurs possibilités de faire des économies s’offrent par exemple les épiceries collectives avec l’accorderie, (un organisme d’entraide communautaire), les marchés de fruits et légumes locaux… Une ville pour les enfants : Toutes les femmes mères ou non rechercheront un environnement propice à la famille et spécifiquement aux enfants. Et une ville qui offre des infrastructures épanouissantes pour les enfants c’est bien ma ville. La maison de la culture, les bibliothèques municipales, Boréalis centre de l’histoire, le récréofun, les centres de loisirs, les camps d’été et nos parcs bien entretenus dans chaque secteur offrent des milieux de libre expression pour nos petits poux. Les garderies gouvernementales ou en milieu familiales sont des ressources favorables pour garder les enfants et permettre à maman de retourner sur le marché du travail. Des écoles de quartier avec des autobus scolaires ou le choix d’une école privée, tu pourras avoir davantage de détails sur la question sur le site de la commission scolaire. Groupes de réseautage au féminin importants; l’isolement est contré : le regroupement des femmes de carrière (le RFCM) pour les carriéristes, la Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie (la TCMFM) pour la défense des droits des femmes, le groupe harmonisation femmes Sana pour l’accueil, le regroupement des Amazones d’Afrique et du monde ( le RAAM) pour l’intégration, le comité solidarité femme pour des actions de solidarité, autant de groupes dédiés aux femmes et qu’il faut intégrer biensur selon ses intérêts personnels ou simplement son besoin de côtoyer l’autre. Le réseautage autant professionnel que social ou humain est la base d’une bonne intégration pour toute personne, même pour les natifs de Trois-Rivières. Un bon réseau est une force d’intégration pour celle qui sait s’en servir comme pont avec les autres, comme outil pour faire sa place. L’entrepreneuriat est une des clés peut être exigeante mais combien fiable et aisée d’intégration pour la femme issue de l’immigration et nouvelle arrivante désireuse prendre sa place et affirmer son plein potentiel. Développer le leadership chez la femme quelque soit ses origines est un puissant moyen de vaincre le syndrome du complexe de l’impossibilité qui aliène hélas bon nombre de femmes particulièrement la femme immigrée, dépaysée et face à l’inconnu. Dans ce point qui selon moi est l’un des plus importants, je souhaiterais citer un passage du célèbre livre de motivation personnelle intitulé : *“s’aimer soi-même, la force dynamique qui vous mène au succès“ de Robert H. Schuller : “ Dites-vous que votre race, votre nationalité ou votre couleur vous défavorise, et vous n’essaierez rien du tout, ou vous abandonnerez après quelques timides efforts. Dieu seul sait combien de gens sont emprisonnés par des emplois qui ne font pas honneur à leurs talents. Ils pourraient accomplir beaucoup plus s’ils ne s’étaient pas rendus esclaves de leur complexe d’impossibilité. Je n’ai pas assez de talents. Je n’ai pas assez d’instruction. Je n’ai pas assez d’argent. Et l’image pitoyable d’une personnalité sous-estimée continue de dominer le potentiel de grandeur qui n’attend que d’être libéré par une éclosion d’amour de soi. “ Divers soutiens et ressources pour les femmes et la famille : Avec des maisons de soutien en périnatalité comme Maternaide, Le Centre ressource pour la naissance, les maisons de la famille, l’organisme FAIRE etc… toutes hébergent dans leurs locaux des friperies pour vêtements et autres accessoires nécessaires pour les enfants. Des maisons de naissance pour celles qui optent pour les accouchements avec les sages-femmes. Avec Femmessor Mauricie une ressource sûre pour l’entrepreneuriat féminin avec des cellules d’échange, de partage, du mentorat et du financement. Il y’a le programme de formation continue du Cégep pour concilier étudier, travail et famille à votre rythme. L’université du Québec à Trois-Rivières avec plusieurs programmes pour le retour progressif ou complet aux études. Un soutien important pour les femmes victimes de violence conjugale ou autres avec des maisons de femmes le FAR, la maison connivence. Le centre le Pont pour aider les femmes à retourner sur le marché

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LES 7 RAISONS POUR IMMIGRER À TROIS-RIVIÈRES

LES 7 RAISONS POUR IMMIGRER À TROIS-RIVIÈRES 1- La qualité de vie:Trois-Rivières est située à mi-chemin de Montréal et de Québec, elle vous offre ce que les grandes villes ont et ce, sans les inconvénients. 2- Pas de stress de circulation:S’établir à Trois-Rivières vous offre de quitter votre maison à 8h chaque matin et rentrer chez vous pour le souper avec même un escale à la garderie chercher vos enfants. Et même s’arrêter au dépanneur du coin chercher ce qui manque pour le repas sans être condamné à le grignoter dans un embouteillage interminable. 3- L’accès à la propriété:Les prix des maisons sont abordables, l’un des plus abordables au Canada. 4- Ville de Loisirs, de culture et de découvertes multiculturellesOn ne lui compte plus ses festivals, ville du festival international de la poésie, du festival rythmes et cultures du monde. Ville de loisirs, Trois‑Rivières dispose d’un vaste choix d’activités pour meubler les temps libres. Avec ses 150 km de voies cyclables, ses 34 patinoires extérieures et ses 31 terrains de tennis, garder la forme n’aura jamais été aussi facile. Ou pourquoi pas une sortie en kayak sur les eaux de la rivière Saint‑Maurice! À quelques minutes du centre‑ville, sept terrains de golf accueillent les amateurs au cours de la belle saison. Plutôt envie de farniente? L’île Saint‑Quentin se fera un plaisir de vous réserver un petit bout de plage pour la détente. 5- Une communauté accueillante; un peuple peut-être froid au premier contact avec la peur de la différence comme 95 % des humains sur la terre mais combien curieux et chaleureux lorsque vous osez aller vers eux et vous efforcer d’intégrez les us et coutumes locales. Ou lorsque votre expertise s’impose à eux sans l’ombre d’un doute. Méchant gros défi d’intégration pour les passionnés de l’excellence et du travail doublement mieux fait. Ne vous inquiétez pas, le SANA est là pour vous guider! Il peut aussi vous aider dans la recherche d’un logement, vous fournir de l’information sur les divers services (éducation, santé, services de garde, etc.), vous référer vers les organismes communautaires et les ressources compétentes concernant par exemple le marché du travail, le démarrage d’entreprise, etc. Et maintenant vous avez le RAAM (regroupement des Amazones d’Afrique et du Monde ) pour la gente féminine désireuse s’intégrer socio-professionnellement , un réel moteur d’intégration au féminin, un véhicule d’intégration par, pour et avec les femmes issues de l’immigration et nouvelles arrivantes dans la région. Avec le RAAM les différences mises ensemble deviennent une force solide d’intégration. L’entrepreneuriat au féminin devient la clé essentielle de leur processus d’intégration. 6- Étudier: 28 écoles primaires, 7 écoles secondaires, 2 centres de formation professionnelle, 1 centre d’éducation des adultes, 2 institutions collégiales et une université. Toute la famille peut étudier même lorsque la langue est une barrière, l’école internationale de Français et le programme de francisation vous facilite l’apprentissage. 7- Terre d’opportunité: Travailler, Etudier, habiter, investir, Trois-Rivières est l’endroit parfait pour réaliser vos projets de vie reliant Montréal à Québec. Elle est situé sur la rive nord du fleuve St Laurent à l’embouchure de la rivière Saint Maurice. C’est la deuxième plus ancienne ville francophone d’Amérique du Nord. Sur place Innovation et développement économique (IDÉ) pour vous accompagner et vous stimuler dans vos défis de contribution au développement économique de la région. L’entrepreneuriat y est accessible avec plusieurs centre de formation continue et d’accompagnement aux entrepreneurs quelqu’ils soient. Osez Trois-Rivières, le fleuve St Laurent croise la rivière St Maurice tel un carrefour où les cultures du monde deviennent un trinité heureuse et rayonnante! *Source: Site web de la ville de Trois-Rivières*Le RAAM (Les Amazones d’Afrique et du Monde) via Facebook Par Elvire Toffa Juteau immigrante Trifluvienne fière et qui prend sa place. *Crédit de photo MS Marina par mon ami “Alain Dionne votre Photographe”, photographe québécois trifluvien réputé dans le milieu immigrant pour sa grande ouverture face à la différence, a été intervenant social pour le service d’accueil des nouveaux arrivants à Trois-Rivières www.alaindionnephotographe.com) Voir tous les articles du blog

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LA PLUME BLANCHE

LA PLUME BLANCHE On ne se perd pas en immigrant, on retrouve plutôt la plénitude de QUI on est vraiment! Le titre de mon billet vous fera certainement sourire quand on sait que tout ce qui est relié à la religion comme la foi, la pratique d’une religion n’importe laquelle est chose rare, voire en voie de disparition au Québec. À un point tel, que je me suis fait dire une fois d’éviter les sujets exportant à la foi ou à la religion si je voulais être lue jusqu’au bout… Avant donc de « zapper » ce billet, cherchez à comprendre ce que j’entends par religion, par foi, par la parole de Dieu et tout autre synonyme que je vais utiliser dans ce texte. Garder ce fil conducteur: Immigrer demeure certes un cheminement de possible perdition et de gros bouleversements de tous ordres, au point d’en perdre sa religion personnelle mais ça reste une élan de foi que seule la religion personnelle de l’Amour de soi et des autres pourra combler. Je vous mets en contexte: j’ai assisté à la conférence :”Être le leader que je suis” de Rémy Tremblay, brillant conférencier et directeur d’Adecco Canada une entreprise de 11000 employés. Ce leader, je l’appellerai “respectueusement et affectueusement” le visage du Christ encore présent et à l’oeuvre sur notre terre, dans notre Québec, oui, dans notre magnifique Québec, qui soit dit en passant n’a quasiment plus la religion ou la foi. Puis-je vous dire qu’avec mon regard de femme immigrante et noire ayant aimé, épousé et adopté le Québec, je peux vous affirmer sans l’ombre d’un doute que la foi, l’expérience de la religion, la vraie, celle de l’Amour (et point final), celle-là qui, dans le silence intérieur d’un être, vient vous chercher et vous transporte là où vous DEVEZ ÊTRE… Cette expérience mémorable, touchante telle une lumière qui sort de l’ombre de nos vies mouvementées, à la course, super occupées…ce moment de vision que plusieurs vous diront qu’ils ont vécu lors d’un rêve ou d’un songe, moi je l’ai vécu en direct. Je l’ai vécu et ressenti, grâce à monsieur Rémi Tremblay. Et ce, ici au Québec! Voici les trois parallèles que je peux faire, entre la conférence et la foi : Le titre: “Être le leader que je suis” m’a tout de suite renvoyé à “Je suis CELUI QUE JE SUIS”, affirmation de Jésus lorsque les disciples lui demandent qui est-il? Le message : “Travailler à devenir, dans tous les domaines de notre vie, plus tranquille par le courage, l’humilité et l’Amour”. Là nous sommes rendus sans prétention à un niveau de spiritualité plus élevé. Mais, par des exemples et avec grande humilité, notre conférencier l’a résumé comme recherche du relâchement de notre EGO, tout comme le stipule la règle des grands moines bénédictins: la recherche assidue de la tranquillité intérieure aujourd’hui et maintenant. Les moines vivent retirés du monde, cloitrés pour mieux aborder et intégrer ce degré d’élévation de l’âme et de la pensée. Grâce à un conférencier, un messager comme monsieur Tremblay, toute personne, a le pouvoir de travailler à cette tranquillité, à cette élévation de notre âme, telle une blanche plume pure et légère volant vers des valeurs plus sereines. Atteignant le résultat suivant : être où nous devons être et être les personnes que nous devons être. Et comme leader, au-delà des stratégies et de la gestion des personnes, s’ouvrir à un don de soi plus généreux, humble et aimant des autres (notre famille, nos employés et même notre travail). Le dernier point de son exposé et non le moindre: “Allez…à la recherche de QUI vous êtes et n’oubliez pas que: Plus vous aimez les gens, plus vous deviendrez tranquille…plus vous atteindrez la légèreté et la liberté d’une plume. C’est une mission : l’envoi en mission. Vous avez reçu, allez le donner au suivant, mais avant, rechercher vous-mêmes qui vous êtes, travailler à être plus tranquilles. Ainsi ce que les gens garderont de vous après votre passage sur cette terre, les souvenirs laissés seront votre sérénité et votre tranquillité contagieuse…Jésus a dit : « Allez, je vous envoi dans toutes les nations, faites des disciples, soyez l’amour autour de vous…et ces paroles sont dites à la suite de son séjour au désert. Le désert, symbole de solitude, de silence, de brise douce où une âme tranquille ou un être serein flotterait comme une plume blanche et légère. Une personne comme toi, comme moi qui aurait travaillé, avec courage, humilité et amour, contre vents et marées et qui pourrait affirmer chaque jour le visage rayonnant de sérénité et avec des étoiles dans les yeux : “Je suis EXACTEMENT là où je dois être!” comme parent ou leader. J’espère que mon billet saura vous toucher et vous faire réaliser que la foi n’est pas juste à l’église, mais aussi partout dans notre quotidien, dans nos rencontres, dans notre travail et que toujours la vie nous parle, écoutons là! Merci Monsieur Rémi Tremblay! Merci pour votre tranquillité. Je peux affirmer que votre message influencera toujours ma vie de femme immigrante, de mère et d’entrepreneure. Grâce à vous, j’ai retrouvé la foi soit-disant perdue du Québec. (Pour ceux qui ont lu mon billet, merci de n’avoir pas « zappé!») Et nourrissez-vous de conférences, formations… ouvrez-vous et recevez, donnez et recevez! Elvire T JuteauDe Trois-Rivières Mère de 3 cocosEntrepreneure immigrantePropriétaire de CasafriqPrésidente du RAAM Voir tous les articles du blog

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